Balneàrio Camboriu est fameuse pour ses belles plages et par sa force du tourisme en été. Située sur la côte nord de Santa Catarina elle a un des meilleurs IDH (indice de developpement humain) du pays.
Le paradoxe de ce donnés, aparaissent sur les collines si proches et en même temps si eloignées de la vue de paradis des belles plages. Proche, quand nous pensons du point de vue physique, à peine un kilomètre de la plage centrale, et loin si nous pensons au vide qui existe entre ces deux genres de vie.
Ce sont des personnes qui apportent une nouvelle configuration archictectonique de vie, avec des piliers improvisés, avec peu ou aucune fondation.
Elles ne sont pas venues chercher des plages, ou atractions touristiques mais si à la recherche d’une qualité de vie meilleure, d’emplois et oportunités.
Composant le fluxe migratoire d’autre régions vers les « charmantes » régions de la côte, ils sont le reflet s’un exode continu et désordoné.
À l’arrivée ils se trouvent devant une realité inattendue et sans qualification, souvent ils ont besoin de faire des ourdues leur quotidien d’elles et sur elles.
Ils veulent parler franchement et vivent sur des terains prets à crouler. Ce sont des famielles entiéres qui s’entassent dans des cabanes empilées sur la terres nue mises directement dans une situation risquée. En quelques mots : à chaque pluie une nouvelle angoisse.
Guilherme Meneghelli et Verena Prujanski Netto (2004)